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Vieilles étiquettes, vieilles divisions
La confession d’un narrateur qui crache peu à peu sa vérité, dévoilant au fur et à mesure ce qui est arrivé. Le tout en 140 à 170 pages : c’est le cadre formel habituel des romans de Tanguy Viel. Ce dernier livre est, plus que les précédents, inscrit dans une forte dimension sociale qui parle de la France d’aujourd’hui, qui souffre et s’exaspère de l’enrichissement éhonté des puissants. « Ça ne me dérange pas qu’on qualifie mon livre de polar, même si ce sont de vieilles étiquettes, de vieilles divisions. »
Françoise Peyre - Le 16 décembre 2018 à 16:10